Îles Vierges Britanniques

Du 25 avril au 21 mai 2008

Bonjour à tous, suite à la visite de Karine qui fut des plus agréables, nous en avons profité pour visiter les B.V.I. Nous avons été choyés par la température et nous avons fait beaucoup de voile entre les îles. Le charme des B.V.I. nous a encore séduits et on a déjà hâte d’y revenir l'hiver prochain.

Îles Vierges Américaines

Du 22 au 24 avril 2008

Lorsque nous arrivons à Charlotte Amélie, capitale de St-Thomas, on fait la rencontre d'Alexandre IV (Jacques et Josée) et nous allons les rejoindre dans une petite baie en face de l'aéroport: Honeymoon Bay. En fin d'après-midi, une annexe se pointe sur nous ! Louisa !, Dès qu'il est à notre épaule, on réalise que c'est le nom du voilier privé de 72 pieds qui était à Norfolk en même temps que nous. C'était aussi à ce moment que Karine s'était liée d'amitié avec l'équipage. Quelle surprise et quand Nate lui a téléphoné du bateau, elle n'en revenait tout simplement pas. Nous nous sommes donné rendez-vous quelque part lorsque Karine arriverait et avant qu’eux, ne prennent la direction du Nord prévu en début mai.
Ce matin, nous partons en annexe pour faire le tour de cette grande ville. C'est un port d'escale pour les navires de croisière et des milliers de touristes envahissent cette ville et les boutiques souvent luxueuses. Nous nous contentons de regarder toutes les vitrines et nous n'entrons seulement que pour vérifier les prix du vin et des alcools; et aussi des cigarettes (10.35$ le carton). Ce n’est pas pour bientôt que Richard va arrêter de fumer. En visitant un autre quartier, quelle ne fut pas notre surprise de trouver un McDO dans le Frenchtown et bien sur, nous y sommes allés pour dîner. En fin d'après-midi, nous invitons un autre équipage québécois pour l'apéro: Masquerade (Hélène et San) et Alexandre IV. Jacques et Josée sont partis pour faire un tour du monde et se rendent au Venezuela avant de conquérir le Pacifique.

Aujourd'hui, c'est journée lessive pour moi et frottage de Marie Galante pour Richard. Nous nous baignons par la suite dans une belle eau claire de 27 degrés. Un autre voilier québécois se pointe: Eccentricity (Robert et Denise) qui remontent leur bateau au Québec après avoir passé 5 ans dans les Antilles. Nous sommes tous invités cette fois chez Alexandre IV. Belle soirée d'échange et je me rends compte que Josée et moi avons une connaissance en commun de nos milieux de travail respectifs.

Îles Vierges Espagnoles

Du 19 au 21 avril 2008

Nous quittons Palmas Del Mar très tôt pour nous rendre à Vieques, dans les Îles Vierges Espagnoles. Malheureusement, comme d'habitude, on a le vent dans le nez mais la mer est assez calme. Comme nous arrivons à notre point d'ancrage, on se croirait à la plage d'Oka. Au moins 8 gros bateaux à moteur sont à l'épaule, un autre groupe aussi, mais plus petits, et nous, les voiliers à des moorings. Il y a une très belle plage et nous allons visiter le petit village d'Esperanza, plein de petites boutiques, bars et restaurants faisant face à la mer. C'est l'une des deux seules villes de cette île. Au retour, l'eau est chaude et claire et on en profite pour se baigner. Il faut dire que Vieques (34 km de long par 6 km de large) est devenue comme un grand parc national après que les Américains eurent cessé de l'utiliser comme terrain de pratique pour l'artillerie et les bombardements en 2003.

Dimanche matin, nous mettons le cap sur Culebra, autre Île Vierge Espagnole. Nous avons environ 10 milles nautiques à faire sur le coté sud de l'île avant de changer de cap vers le nord-est où nous voyons au loin l'île de Culebra. Et finalement, nous avons un vent stable de 15 nœuds et de coté. Pleine voile et on roule à une moyenne de 7 nœuds. Richard trouve même que l'on roule vite car Vieques s’éloigne rapidement et on s'approche très vite de Culebra. En deux temps, trois mouvements, nous voilà rendus dans la baie principale et nous sommes entourés de montagnes. Il est environ 13 heures. À notre surprise, on aperçoit un avion se glisser entre deux flancs de montagne pour venir atterrir à l'aéroport local qui était caché derrière les arbres. Richard trouve ces pilotes assez braves et on se doute bien qu'il s'agit d'avions à décollage et atterrissage court. Nous prenons Mini Galante pour aller faire un tour du village et découvrir les marchés, boutiques et restaurants.

Cet avant-midi, en prenant une marche à la découverte de cette ville, Richard décide de se renseigner pour le coût de location d'une Jeep. Aussitôt dit, aussitôt fait, et nous voilà à faire le tour de l'ile sur toutes les routes possibles. Il faut dire qu'elle ne fait que 11 km par 8 km et est remplie de côtes assez abruptes. Nous découvrons des endroits et paysages plus beaux les uns que les autres et je prends beaucoup de photos. En fin de journée, nous rencontrons des québécois (Le Temps de Vivre II) qui sont sur leur retour vers le Québec après avoir passé l'hiver à St-Martin. Nous passons un bon moment en leur compagnie et Judy me passe ses meilleurs trucs pour le magasinage là-bas. Nous allons partir demain pour St-Thomas.

Sud - Est de Puerto Rico

17 et 18 avril 2008

Après quatre heures et demie de navigation, nous nous arrêtons dans les mangroves près de Salinas. Nous y sommes seuls jusqu'à ce qu'un voilier suisse arrive vers la fin de l'après-midi. Nous en profitons pour nous baigner. Soirée tranquille.

En quittant notre mouillage, je vois de temps en temps un petit jet d'eau un peu plus loin. Je pense que le vent fait un effet sur les vagues. Mais en regardant plus attentivement, j'ai vu le dos d'une baleine qui plongeait. Des dauphins sont aussi venus faire un petit bout de chemin avec nous. Enfin, nous arrivons à Palmas Del Mar. Quelle surprise de voir que nous ne pouvions plus nous ancrer car ils sont en train de construire une super grosse marina. Nous faisons le tour entre les autres canaux et Richard s'informe à plusieurs reprises où nous pourrions nous ancrer. Peine perdue, nous irons finalement en face de condos en construction dont les quais ne sont pas utilisés. J'aimerais aller au restaurant en face de nous, mais lorsque nous essayons d'aller vers la rue, on découvre que c'est un petit domaine à haute sécurité avec des barrières infranchissables. Nous sommes pris dans une prison dorée, car les maisons sont magnifiques. Nous retournons sur Marie Galante en faisant notre deuil d'un bon repas. Ça ne me tente pas de descendre l'annexe juste pour aller en face.

Ponce et San Juan

Du 13 au 16 avril 2008

Après une bonne nuit de sommeil, nous partons à 6h00 pour Ponce, avec 17 milles nautiques à faire. Nous arrivons vers 09h00, mais la marina est fermée aujourd'hui. Nous trouvons enfin un gardien qui nous laisse s'amarrer au bout du quai de service pour la nuit. Nous pouvons enfin donner une bonne douche à l'eau douce pour Marie Galante qui en avait bien besoin. Je suis sûre qu'elle a beaucoup appréciée. Ensuite, nous allons nous promener autour de ce Yacht Club assez luxueux. En face, il y a une promenade sur le bord de l'eau avec différents kiosques qui jouent de la musique à tue-tête et cacophoniques car elles sont toutes différentes. Nous trouvons en marchant un Cash and Carry que nous allons explorer et voir ce qu'on pourra acheter lorsque nous aurons un véhicule. À la sortie, nous demandons un taxi qui n'est jamais arrivé. Pendant l'attente, Richard aide un local à placer ses marchandises dans le camion. Bien sur, il va lui demander un lift et ce monsieur accepte et de plus, il nous donne deux mangues de son jardin. Soirée tranquille pour nous mais très animée sur la promenade d'en face.

Lundi matin, il pleut énormément fort et nous sommes tout mouillés en allant à la réception de la marina. Nous louons un voiture pour deux jours et aller à San Juan. Le paysage est magnifique et la route très belle dans ces montagnes. À notre arrivée, nous cherchons un hôtel pas trop cher et Richard arrête un policier pour lui demander des informations. Nous continuons notre route pour retourner sur nos pas, et qu'est ce qu'on voit: un West Marine. Nous sortons nos bicyclettes rouillées et inutilisables. Ayant la facture, ils nous remboursent sans question. Quelle chance. La jeune caissière apprend le français à l'Université et nous dit quelques mots. À la sortie, en quittant le stationnement, un homme nous court après en français. Il nous donne l'information nécessaire pour trouver un hôtel. Il se présente comme docteur Maza, chiropracticien. Richard n'en revient pas, car il voulait justement en consulter un. Il nous donne rendez-vous pour la fin de journée et c'est très près de l'hôtel où nous serons. Après sa consultation de 100.00$ US, nous allons souper au resto de notre hôtel. Il y a une vue superbe de la ville (nous sommes au penthouse) et nous voyons des avions qui s'en vont atterrir tout près. Le maître d'hôtel est très classe et nous soumet le menu du jour dans un français quand même acceptable avec un peu d'aide. Belle soirée et dodo dans un immense lit king.

Mardi matin, nous visitons le vieux San Juan en auto car il y a peu de stationnement. Les rues sont très étroites et en pavé de briques et toutes cabossées. L'architecture est vraiment de type espagnole et les deux forts sont encore en bonne condition. Par la suite, nous allons visiter l'usine de Bacardi. Visite très instructive et intéressante. J'y ai appris comment faire un Mojito. De plus, nous avions droit à deux consommations chacun. Comme Richard devait conduire, j'ai pris un Pina Colada, un Mojito et un Daiquiri. Il n'a pris qu'un Cuba Libre. Nous en avons aussi profité pour acheter tout le rhum nécessaire pour quelques mois. (C'est le bon temps de venir nous faire une visite) À notre retour à Ponce, recherche dans la ville pour trouver le super Walmart, que nous trouverons après de multiples demandes d'information ici et là. Retour à la casa, bien fatigués, mais contents de notre séjour.

Ce matin, nous voyons que Unchained et Gabridash sont en face de nous. Ils sont arrivés hier et viennent nous rendre une petite visite matinale. Avant de rendre la voiture, nous allons finaliser tous nos achats en vin et victuailles fraîches. À notre retour, Django arrive et Richard va les inviter pour l'apéro. Nous pensons quitter demain pour continuer notre périple vers l’est de l'île de Puerto Rico.

En route vers Puerto Rico

Du 9 au 12 avril 2008

Un nouvel apprentissage de navigation que l'on doit comprendre: c'est la navigation avec du vent provenant de la côte et en direction de l'est. Il faut dorénavant naviguer de préférence en soirée et la nuit pour profiter des vents plus faibles. Et surtout, il faut être ancré ou à quai avant 9h le matin, sinon les conditions de vagues et vents rendent la navigation très désagréable. À Luperon, c'est assez bizarre de voir ce phénomène se répéter à chaque jour car entre 9h et 10h le matin, le vent commence à souffler et ce jusqu'à 19 - 20 heures le soir. Comme Richard le dit si bien: ils viennent de fermer le ventilateur. Il est maintenant 18h30: c'est le départ en compagnie de 5 autres voiliers : 3 Américains, 1 Hollandais, 1 Britannique et nous: Canadien. Les conditions sont bonnes, vent léger et houle de 3 à 5 pieds assez longue. Notre vitesse se maintient à 5 nœuds en moyenne et nous roulons au moteur et à voile.

Parce que chaque voilier ne navigue pas à la même vitesse, le groupe se disperse légèrement, mais nous restons quand même en visuel. Comme prévu, (plan A). Nous nous arrêtons à Escondido vers 14 heures même si le reste de la flottille décide de continuer. Nous avions vraiment besoin de nous reposer un peu après 19 heures et demie de navigation en continue. repos. À cet ancrage, nous y retrouvons Voyager C, Dream Maker et Seven Bridges qui arrivaient de Sosua. Le Commandant de port est venu nous voir pour vérifier nos papiers: ça nous a coûté 10 dollars US. Les autres voiliers s'en sont tirés avec des pesos, de la bière et des boissons gazeuses pour les deux jeunes rameurs du capitaine. Après quelques heures de sommeil et un bon souper, nous décidons de partir légèrement plus tôt que prévu pour suivre cette nouvelle flottille. À la sortie de cette petite et très belle baie, nous rencontrons des vents assez forts et en cascades causé par la proximité des montagnes assez impressionnantes. Par la suite, en suivant la pointe de l'île, ce fut un bon courant de face qui a réduit notre vitesse à 4 nœuds et toujours avec un vent de face; donc pas de voile. La mer, quant à elle, était quand même assez confortable. Au lever du soleil, nous décidons encore une fois de suivre notre plan de base. Nous avertissons nos copains qui eux, décident de longer la côte en direction de Punta Cana et Mona Island par la suite. Nous sommes maintenant seuls sur cet océan à l'exception de quelques cargos que l'on rencontre. Vitesse moyenne de 5 nœuds, la mer est calme et un vent de 10 nœuds dans le pif, et ce même lorsque nous avons changé de cap vers le sud. Rien à faire, le vent ne voulait pas coopérer. Notre plan initial était d'arriver vers 8h le matin, à la clarté, mais étant donné notre départ plus tôt la veille, cela nous donnait une arrivée vers 4 heures du matin. Richard a décidé de rentrer quand même à la noirceur et ça c'est très bien passé. En passant, nous faisions des quarts d'environ 2 heures chacun.

Après un court sommeil, vers 8 heures, nous voyons les copains de Luperon qui étaient arrivés la veille vers 17 heures. Ils nous contactent et sont bien heureux de nous revoir et nous découvrons aussi un autre bateau Canadien qui sont de Montréal ( Willy et Kathleen de Django, un catamaran). Nous décidons de se joindre à eux pour les procédures de douane et immigration qu'ils n'avaient pas encore faites. Nous nous donnons tous rendez-vous pour 12h30 et louons deux taxis pour se rendre à Mayaguez faire notre devoir d'étranger. Retour vers 16h00 et nous nous reverrons pour le souper dans un restaurant du village. Boqueron ressemble étrangement à un petit Old Orchard avec un charme Portoricain. C'est un endroit de fête toutes les fins de semaine et de musique jusqu'aux petites heures du matin. Nous avons eu, encore une fois, beaucoup de plaisir et retour pour dodo vers 21 heures.

Samedi matin, vers 5 heures, nous partons comme prévu vers Gilligan's Island. Une fanfare de tam-tam sur la plage reprend vie à 5 heures du matin et nous continuerons de les entendre pendant encore un bout de temps. Nous pensons à nos copains qui seront réveillés par cette musique matinale. En cours de route, des dauphins sont venus nous saluer et caresser les flancs de Marie Galante. Nous arrivons vers 11 heures à notre mouillage. C'est un parc national et nous le visitons en annexe. Nous faisons aussi la rencontre de Christian et Linda sur Cavaleuse qui reviennent au pays après une année sabbatique. Ils ont fait un aller-retour aux Acores et nous donnent beaucoup d'informations sur Puerto-Rico. Un voilier voisin fait l'objet de ma curiosité. Je vois deux adolescents qui sautent à l'eau depuis le pont et trois plus jeunes qui les regardent. Un cinquième plus jeune se présente sur le pont... et j'en vois en cinquième encore plus petit et un chien, et ce, sans compter les parents. Donc, si mes calculs sont exacts, 2 parents + 7 enfants + 1 petit chien sur un voilier à peine plus gros que le nôtre. Ça c'est de l'aventure. Ce soir, c'est notre premier bon souper arrosé d'une bouteille et demie de vin depuis notre départ de Luperon.

Retour à Luperon

Du 28 mars au 8 avril 2008

Retour : Nous ne pouvons pas passer sans silence notre séjour au pays. La chose qui nous a le plus frappé est qu'il nous a fallu 6 mois pour se rendre en République Dominicaine et seulement 4 heures pour y revenir: sentiment assez bizarre. Premièrement, chez ma sœur à Toronto, dès le lendemain de notre arrivée, nous avons été accueillis par une bonne bordée de neige. Puis, à notre retour à Montréal en autobus, les visites se sont multipliées sans arrêt. Ces 3 semaines ont passé très vite mais on tient à remercier tous ceux et celles qui nous ont reçus et que l'on a vu. Du plaisir et de la joie, on en a eu beaucoup. Merci encore à tous.

Luperon : Faisons connaissance de Lucie et Daniel de Navillus qui retournent vers la Floride après avoir passé 5 ans dans le sud. Ils nous donnent beaucoup d'informations pour nos prochaines étapes. Dimanche matin, nous allons au petit marché aux puces de la marina et après, Ernie de Stonecutter II vient aider Richard à réparer nos feux de navigation. Et c'est la farniente en après-midi.
De la pluie et du vent sont de la partie pour aujourd'hui. Nous en profitons pour faire un peu de ménage. Le lendemain, encore de la pluie et du vent. Depuis notre retour du pays de la neige, la température a bien changé et ce pour toute les Caraïbes. Vent fort, pluie forte, en somme il ne fait pas beau et d'après les météorologues, le temps ne changera pas avant le milieu de la semaine prochaine. C'EST À SUIVRE! Daniel et Lucie doivent encore retarder leur départ vers les Bahamas car il vente encore beaucoup trop fort. Entre les averses, je suis allée au village faire quelques provisions et j'ai acheté un poulet cuit sur charbon. J'ai réussi à en faire manger à Richard avec une bonne sauce BBQ St-Hubert.

Blow Holes : Malgré la temps maussade, nous profitons des moments d'accalmie pour aller visiter les Blow Holes tout près de notre lieu d'ancrage. WOW ! on en avait entendu parler, mais là... voir les vagues se fracasser sur les récifs et la côte, entendre l'eau passer sous nous pour ensuite rejaillir par une ouverture, quel spectacle. Avons juste le temps de revenir au bateau avant que la pluie ne reprenne de nouveau avec éclairs et tonnerre. Un grain quoi.... Des pointes de vents ont été enregistrées jusqu'à 35 nœuds à l'intérieur de la baie. Nous étions bien heureux d'être attachés à un mooring, puisque nous avons vu un voilier qui a décroché très près de nous. Richard est allé à la rescousse avec d'autres voisins.

Santiago : Visite de la ville de Santiago. Départ en guagua (nous serons 16 personnes entassées) vers Imbert et par la suite, un autre autobus avec air climatisé pour se rendre au centre-ville. Visite du monument qui surplombe la ville et Richard a réussi à trouver un Mc Donald pour dîner. Nous en profitons aussi pour aller faire notre épicerie dans un grand magasin qui a presque tout. Nous revenons vers Luperon chargés comme des mulets et entassés comme des sardines. En soirée, nous allons au petit bar de la marina pour une soirée Karaoké. Eh oui, Richard y est allé pour une toune.


Préparatifs : Marie Galante est réapprovisionné en eau, diesel et propane. La coque est aussi nettoyée par Papo et Handy Andy. Dimanche, toujours le petit marché aux puces de la marina et faisons la rencontre de Bruce Van Sant, le guru des traversées et qui a écrit le guide PASSAGE TO SOUTH. Méchant personnage.


Rencontre pour ceux qui veulent quitter mardi. Les explications et météo sont à l'ordre du jour. Les derniers préparatifs sont en cours pour notre départ prévu en fin de journée mardi vers Puerto Rico. Il faut obtenir notre autorisation pour quitter Luperon auprès du Commandant du port, terminer notre épicerie et aller faire nos adieux à Annie et Steve du restaurant tout en prenant un bon dernier diner.